Cet article est issu du magazine Les Dossiers de Sciences et Avenir n°223 daté octobre/ décembre 2025.
« Il suffit parfois d’un son, d’une image ou d’un autre stimulus évocateur pour que certains traumatisés revivent le choc qu’ils ont subi jusque dans leur corps. Par exemple, qu’ils soient repris par les mêmes tremblements que ceux dont ils ont été pris ce soir-là, au Bataclan, raconte Jacques Dayan, pédopsychiatre et coresponsable scientifique du programme de recherche 13-Novembre.

